Une fête à Porter Hall gâchée par un crime sanglant

Un nouveau meurtre sordide a eu lieu à Porter Hall, sur le campus de l’université, mardi 18 janvier dans la soirée, pendant une soirée étudiante. Le jeune homme, Maxime Farrel, était l’un des résidents de Porter Hall. Il a été retrouvé dans sa chambre par une fêtarde.

C’était pour célébrer la « grande soirée de l’après-choc » après le tremblement de terre d’hier, que Porter Hall, plongée dans le noir total après une coupure généralisée due au séisme, avait décidé d’inviter tout le campus. L’après-choc a néanmoins été suivi par un choc encore plus sévère. C’est lorsque l’électricité à été rétablie que le corps à été retrouvé, la gorge tranchée, torse nu, sur son lit, avec ce qui s’apparente à un symbole satanique taillé dans sa chair. La fête a tourné court et la police a encerclé les lieux pour entendre tout le monde. Pour l’heure, aucun suspect n’est déclaré, mais l’association MOO, constituée il y a tout juste un an, s’est déjà emparé de l’affaire et exige des réponses sur ce qu’elle suppose être un crime satanique similaire à celui de Hans et Greta Strauss qui avait secoué la communauté l’an passé. MOO a déjà invité le criminologue David Johnson à se positionner sur le symbole en question, qui représenterait, selon les sources concordantes, à un œil dans une pyramide, comme l’œil de la providence. Pour l’heure, Johnson se dit perplexe, n’étant pas certain que le symbole satanique qu’il a pu découvrir sur des photographies à un quelconque rapport avec un milieu sectaire.

Les amis de la victime l’attendaient dans une chambre voisine. « On était avec des filles, on devait danser le limbo tous nus. Il devait ramener l’alcool pour tout le monde, mais il ne nous a jamais rejoint », raconte un anonyme qui l’a côtoyé moins d’une heure avant le drame. La jeune femme qui a découvert le corps et appelé la police n’a pas souhaité s’exprimer dans nos colonnes. Elle aurait déclaré à la police être de toute façon rodée par les nombreuses morts atroces à Sunnydale. L’enquête ne fait que commencer…

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